Des chercheurs ont donné le même apport calorique à 400 souris à l'exception près que certaines pouvaient manger toute la journée et les autres seulement à heure fixe. Résultat : les souris qui mangeaient n’importe quand ont vu leur poids augmenter de 28 % et leur taux de glycémie grimper en flèche, s’exposant d’autant plus au risque de diabète et de surpoids. Tandis que les souris qui ont respecté des périodes de jeûne entre chaque repas ont maigri et leurs paramètres métaboliques (diabète, cholestérol) se sont améliorés.
Une nouvelle étude américaine démontre qu'une nuit de privation totale de sommeil affecte de la même manière la sensibilité à l'insuline que six mois d'un régime alimentaire riche en matières grasses, augmentant ainsi le risque de diabète et d'obésité.
La taille des portions de viande dépend de trois critères :
- le type de morceau (avec ou sans os, avec ou sans gras à retirer…)
- la fréquence de consommation (nombre de fois par jour ou par semaine)
- les besoins nutritionnels de chacun (sexe, âge)
Pour vous donner une idée, voici les grammages par personne pratiqués dans la grande distribution :
Voici à titre indicatif les quantités de légumes qu'il faut prévoir pour une personne adulte pour un repas quotidien normal (les rations dépendent bien sûr du menu proposé ainsi que des appétits individuels) :
Ces dernières décennies, les habitudes alimentaires des Français ont considérablement évolué. Héritée du modèle bourgeois français du XIXème siècle, la tradition des trois repas quotidiens persiste-t-elle toujours en France malgré la montée en puissance du snacking ? C'est la question que se sont posés les chercheurs de l’Inserm au cours d'une étude menée sur un échantillon représentatif de 3000 adultes vivant en Ile-de-France.